Accusés à tord pour une somme de dégâts qu'ils n'ont pas commis, même s'ils en commettent, les blaireaux resteront temporairement autorisés à vivre. Mais "le système" est contre eux. Il est à revoir
Le blaireau après avoir payé lourdement le gazage de ses terriers dans le cadre de la lutte contre la rage vulpine, va-t-il devoir payer maintenant pour les dégats occasionnés par les sangliers?